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By the pool

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50 x 50
90 x 90
120 x 120
Execution/framing
Contrecollage sous verre acrylique
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 50 x 50 cm (Dimensions extérieures) Tirage photo fixé, érable canadien blanc, 62,4 x 62,4 cm (Dimensions extérieures) Sur papier premium (mat) non monté ou encadré. Expédié roulé.
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 50 x 50 cm (Dimensions extérieures)
Execution/framing
Contrecollage sous verre acrylique
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 90 x 90 cm (Dimensions extérieures) Largeur de profil 15 mm avec verre acrylique mat, érable canadien blanc, 94,4 x 94,4 cm (Dimensions extérieures) Sur papier premium (mat) non monté ou encadré. Expédié roulé.
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 90 x 90 cm (Dimensions extérieures)
Execution/framing
Contrecollage sous verre acrylique
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 120 x 120 cm (Dimensions extérieures) Largeur de profil 15 mm avec verre acrylique mat, érable canadien blanc, 124,4 x 124,4 cm (Dimensions extérieures) Sur papier premium (mat) non monté ou encadré. Expédié roulé.
épaisseur 2 mm mat, sans cadre, 120 x 120 cm (Dimensions extérieures)
2017 / 2023 ALV06
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INFORMATIONS SUR LE BAGROUND

Les Dream Landscapes (litt. « Paysages oniriques » en français) imaginés par le peintre et artiste numérique Alejos Lorenzo Vergara livrent un regard surréel sur la campagne ibérique. Expression singulière des visions de l’artiste, les œuvres incorporent pêle-mêle certains ingrédients de sa Galice natale avec d’autres tirés de son imagination. L’artiste puise ici son inspiration dans la nature, mais aussi dans la musique, le cinéma et l’art en général afin d’élaborer ces délicates compositions. Références personnelles et autochtones s’unissent en parfait équilibre avec des thèmes aussi universels que le collectif, l’environnement ou la compassion. Débordant de symboles et de sous-entendus, les œuvres signées Alejos Lorenzo Vergara nous invitent à faire un pas en avant, à envisager un monde nouveau, un monde onirique.

Fasciné par la peinture depuis sa plus tendre enfance, Alejos Lorenzo Vergara découvre les œuvres de Dalí, Tanguy et surtout le Manifeste du surréalisme d’André Breton, lesquels marquent un tournant dans sa vie. Inspiré par le langage iconographique des premiers surréalistes ainsi que par leur activisme politique et social, Alejos Lorenzo Vergara entend créer des œuvres capables d’élever l’âme des personnes qui l’entourent.

Peintre autodidacte, Alejos Lorenzo Vergara s’inspire d’une vaste palette de styles et de mouvements pour réaliser des tableaux à la fois évocateurs et singuliers. Innovateur insatiable, Alejos Lorenzo Vergara a déjà exposé, au cours de sa carrière mouvementée, esquisses au crayon, œuvres numériques, tableaux acryliques et peintures à l’huile. Partout sont palpables sa nature exploratoire et son sens de l’humour. Des aplats de couleur pop art aux tachetés impressionnistes, en passant par l’audace des compositions japonaises ukiyo-e, la pléthore d’influences d’Alejos Lorenzo Vergara reflètent sa fascination de toujours pour l’art, et ce, quels qu’en soient l’époque, le support ou le pays. Richement référencées et profondément intimes, ses peintures naissent d’un désir simultané de connexion externe et de réflexion interne.

VITA
Né en 1975 en Galice (Espagne), Alejos Lorenzo Vergara a appris à peindre et dessiner dès son plus jeune âge. Il a d’abord étudié puis travaillé comme décorateur d’intérieur avant d’entamer une carrière d’artiste après avoir lu le Manifeste du surréalisme d’André Breton. Fils de ses œuvres, Alejos Lorenzo Vergara ne cesse d’innover en matière de genres et de supports. S’étoffant d’année en année, son portefolio d’œuvres exposées un peu partout dans le monde comprend des peinture acryliques, murales, numériques et à l’huile.
INTERVIEW
Picasso a dit un jour « Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver ». Et vous, où trouvez-vous votre inspiration artistique ?
Pour moi, l’art est la manifestation de la vie. C’est un est le langage avec lequel les artistes communiquent et interprètent le monde qui nous entoure, en l’occurrence à travers la peinture. Partout, l’art nous entoure, à la fois dans la nature elle-même et dans les œuvres que nous créons. La vie guide notre attention, que ce soit inconsciemment, dans les rêves, ou consciemment en créant de nouvelles œuvres. L’inspiration peut me venir à tout moment : en dormant, en mangeant, en regardant la télévision, en jouant avec mes enfants...

De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
Je pense que l’inspiration vient davantage des sensations que des idées. Il peut s’agir de simples détails attirant mon attention, ou de sentiments plus larges que j’éprouve en contemplant un coucher de soleil ou en marchant dans une forêt, par exemple. Tout commence par un stimulus qui me suggère quelque chose. Je ressens le besoin de donner forme à cette idée, de la partager et de la concrétiser. C’est ainsi que je conçois mon travail : non pas comme un labeur, mais comme une façon de me frayer un chemin à travers la vie en racontant des histoires par le biais d’un langage visuel. Ce langage ne ressemble pas aux langages parlés entre humains, mais plutôt à un langage que partage l’Homme avec la nature. Il est de mon devoir de donner une forme visible à ces idées et de les partager avec d’autres.

Quel est votre livre favori ?

Mon livre préféré est sans conteste le Manifeste du surréalisme écrit par le poète, médecin et fondateur du mouvement éponyme André Breton. Avec le reste de son œuvre, il m’a ouvert l’esprit sur une voie que je n’avais jamais explorée auparavant, à savoir l’interprétation des rêves. Dans mon cas, cependant, j’ai l’impression que ce que je fais s’apparente plutôt à une interprétation de la vie à travers un processus d’ « automatisme psychique ».

Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi discuteriez-vous ?
J’aimerais parler du surréalisme avec André Breton, de l’importance du subconscient dans la vie quotidienne et de sa relation à l’intuition voire à l’inspiration artistique. J’aimerais également pouvoir converser avec le musicien Mike Oldfield à propos de la nature, de la musique et de la peinture, sujet dont je sais qu’il est passionné.

Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?

Enfant déjà, je rêvais d’être peintre. J’aimais ce que cela représentait : créer un dialogue visible avec la vie, se consacrer à ses passions. Jeune, j’étais fasciné par une émission de télévision pour enfants dans laquelle un dessinateur racontait des histoires et les illustrait au fur et à mesure qu’il les racontait. Le bar de mon grand-père était fréquenté par des peintres et des dessinateurs qui, ayant repéré mon talent, m’ont encouragé dans cette voie dès mon plus jeune âge. Peindre a toujours été pour moi quelque chose d’inné : je l’ai toujours fait à ma façon, en apprenant les techniques au moment opportun, en progressant à mon rythme. C’est en cela que j’affirme être autodidacte. Je n’ai jamais voulu étudier, mais ai dû m’y résoudre en raison d’une crise économique qui a frappé de plein fouet ma ville natale. Je me suis donc inscrit à l’école d’architecture, avec une spécialisation en aménagement intérieur et en design mobilier. Cependant, je n’ai jamais cessé de peindre. Cela fait maintenant plus de quarante ans que je peins et dessine, mais je n’ai pas vu le temps passer.

Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé ?

Je suis très influencé par ma famille et par le soutien qu’elle m’apporte, tant au quotidien que lorsque j’ai démissionné pour peindre à plein temps : ce n’était pas vraiment une décision consciente, mais plutôt un besoin vital. Je suis également très influencé par les musiciens que j’écoute. Bien sûr, ils ne sont pas physiquement présents, mais j’ai parfois l’impression qu’ils le sont. La musique est ma pulsation. Sans nature ni musique, qu’elle soit récente ou ancienne, je pense que mes peintures seraient complètement différentes.

Imaginez que vous possédiez une machine à remonter le temps. Où vous transporterait-elle ?
À dire vrai, je suis heureux de l’époque dans laquelle je vis, malgré les mauvais moments que j’ai traversés. Je ne pense pas que je changerais quoi que ce soit à mon passé, à l’exception peut-être du décès de mon père survenu lorsque j’avais quatorze ans. Si j’avais la faculté de voyager dans le temps, j’aimerais pouvoir lui dire à quoi ressemble mon présent.

Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?

Je suis passionné par plein de choses. Je consacre la plupart de mon temps à ma famille et à la peinture. Sinon, je m’intéresse depuis longtemps à l’informatique, au sport (plus qu’aux spectacles) et à la nature : je pense notamment à Valdoviño, avec sa lagune, à la plage de Frouxeira, ainsi qu’à Doniños et bien sûr à Ferrol (Galice), ma ville natale.

Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
J’ai hâte de vous montrer une nouvelle technique sur laquelle je travaille en ce moment et qui consiste à directement appliquer la peinture sur une couche de sable : un peu à la manière de graffitis sur les murs d’un bâtiment, mais pour des œuvres amovibles destinées à être exposées en intérieur. Je crois que le langage artistique évolue avec le temps. Au fil des ans, vous accumulez les expériences, qu’elles soient positives ou négatives. Ce vécu façonne votre langage artistique.
Je termine actuellement un cycle d’une vingtaine d’œuvres qui seront exposées dans plusieurs hôpitaux espagnols au profit d’une organisation caritative. Je pense que l’art doit intervenir là où il peut être le plus utile, notamment pour remonter le moral de ceux qui vivent des moments difficiles. Qu’il est réconfortant de pouvoir aider les autres, même modestement. Aujourd’hui plus que jamais, l’art doit être cette lumière qui guide notre chemin.

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