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Erin Cone
La figuration abstraite dans la peinture d'Erin Cone Des femmes, charmantes, montrées en vues de côté, vues de dos ou vues de face. Parfois, c'est une tête penchée qui est coupée, parfois… En savoir plus
Introduction Curriculum vitæ Expositions Entrevue
Reminisce
Adieux
€ 1 390
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Adieux
€ 1 390
Charade
Adieux
€ 1 690
Charade
Adieux
€ 1 690
Demeanor
Adieux
€ 1 190
Demeanor
Adieux
€ 1 190
Discourse II
Adieux
€ 349
Discourse II
Adieux
€ 349
Shift
Adieux
€ 1 690
Shift
Adieux
€ 1 690
Falter
Adieux
€ 549
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Adieux
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Disposition
Adieux
€ 349
Disposition
Adieux
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Decorum
Adieux
€ 1 190
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Adieux
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Evade
Adieux
€ 1 090
Evade
Adieux
€ 1 090
Countenance
Adieux
€ 349
Countenance
Adieux
€ 349
Reconcile
Adieux
€ 549
Reconcile
Adieux
€ 549
Allude
Adieux
à partir de € 349
Allude
Adieux
à partir de € 349
Forbearance
Liminal
€ 699
Forbearance
Liminal
€ 699
Finale 1
Liminal
€ 749
Finale 1
Liminal
€ 749
Finale 2
Liminal
€ 699
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Liminal
€ 699
Exchange 1
Liminal
€ 699
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Liminal
€ 699
Remembrance
Liminal
€ 749
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Liminal
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Glow
Liminal
à partir de € 349
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Liminal
à partir de € 349
Exchange 2
Liminal
€ 699
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Liminal
€ 699
Lotus
Flora
à partir de € 349
Lotus
Flora
à partir de € 349
Informations de fond sur Erin Cone
Introduction
La figuration abstraite dans la peinture d'Erin Cone
Des femmes, charmantes, montrées en vues de côté, vues de dos ou vues de face. Parfois, c'est une tête penchée qui est coupée, parfois c'est une épaule qui disparaît du cadre de l'image. Les couleurs soutenues de ces figures sont estompées par des arrières-plans discrets. Les particularités sont alors rendues dans un habile souci du détail et délivrent à nouveau à la composition d'ensemble un effet abstrait. C'est au plus tard depuis 2003, date à laquelle Erin Cone, originaire du Texas et née en 1976, donna sa première exposition en solo dans une galerie, qu'elle est considérée comme l'atout caché parmi les jeunes artistes en essor.
Originaire du Texas, l’artiste peintre Erin Cone a été plusieurs fois récompensée. Son œuvre a rencontré un immense succès lors de ses nombreuses expositions – individuelles ou collectives – organisées en Europe et aux États-Unis. Sa carrière débute en 2001 avec un premier solo show dans une galerie d’Austin (Texas), alors qu’elle est déjà considérée comme une figure montante de l’art. Désignée par deux fois Top Emerging Artist, elle a été publiée dans de prestigieuses revues d’art. Ainsi l’American Art Collector Magazine, le Southwest Art Magazine et bien d’autres publications encore ont-ils régulièrement fait d’Erin Cone leur couverture. Figure établie sur la scène artistique, ses œuvres comptent aujourd’hui parmi les plus grandes collections du monde. Les critiques ne se lassent pas de sa réinterprétation singulière de la peinture figurative traditionnelle ni de son jeu subtil avec les formes du réalisme. Il faut dire qu’elle maîtrise le clair-obscur, les palettes de couleurs et le contraste entre reproduction détaillée et stylisation graphique avec brio.
Erin Cone décrit son procédé par ces mots:„Pour moi, c'est plus l'effet visuel que le contexte narratif qui est important, c'est pourquoi je me concentre sur l'agencement subtil de mon sujet à l'intérieur du cadre formel. Je créé délibérément cette tension entre le détail presque photo-réaliste et mon propre vocabulaire issu de défaillances visuelles, lesquelles contournent justement ce réalisme. Cette dualité est centrale pour mon travail et permet à mes figures d'être à la fois figuratives et abstraites, ce qui explique qu'elle déclenchent une émotion sans pour autant vraiment la fixer.“
Une fois la composition trouvée, Cone procède, d'après ses dires, de façon très traditionnelle: elle dessine les esquisses sur la toile, les emplies de couches de couleurs et, suivant les circonstances, laisse place aux changements pendant l'acte de peinture. Les résultats sont ainsi des images particulièrement impressionnantes comme Allure, ce portrait / non-portrait abstrait-figuratif d'une jeune femme en robe rouge. Formellement, un équilibre élégant entre mouvements rigides et tendus, mélange réussit entre minimalisme abstrait et réalisme figuratif.
Geraldine Blum
Des femmes, charmantes, montrées en vues de côté, vues de dos ou vues de face. Parfois, c'est une tête penchée qui est coupée, parfois c'est une épaule qui disparaît du cadre de l'image. Les couleurs soutenues de ces figures sont estompées par des arrières-plans discrets. Les particularités sont alors rendues dans un habile souci du détail et délivrent à nouveau à la composition d'ensemble un effet abstrait. C'est au plus tard depuis 2003, date à laquelle Erin Cone, originaire du Texas et née en 1976, donna sa première exposition en solo dans une galerie, qu'elle est considérée comme l'atout caché parmi les jeunes artistes en essor.
Originaire du Texas, l’artiste peintre Erin Cone a été plusieurs fois récompensée. Son œuvre a rencontré un immense succès lors de ses nombreuses expositions – individuelles ou collectives – organisées en Europe et aux États-Unis. Sa carrière débute en 2001 avec un premier solo show dans une galerie d’Austin (Texas), alors qu’elle est déjà considérée comme une figure montante de l’art. Désignée par deux fois Top Emerging Artist, elle a été publiée dans de prestigieuses revues d’art. Ainsi l’American Art Collector Magazine, le Southwest Art Magazine et bien d’autres publications encore ont-ils régulièrement fait d’Erin Cone leur couverture. Figure établie sur la scène artistique, ses œuvres comptent aujourd’hui parmi les plus grandes collections du monde. Les critiques ne se lassent pas de sa réinterprétation singulière de la peinture figurative traditionnelle ni de son jeu subtil avec les formes du réalisme. Il faut dire qu’elle maîtrise le clair-obscur, les palettes de couleurs et le contraste entre reproduction détaillée et stylisation graphique avec brio.
Erin Cone décrit son procédé par ces mots:„Pour moi, c'est plus l'effet visuel que le contexte narratif qui est important, c'est pourquoi je me concentre sur l'agencement subtil de mon sujet à l'intérieur du cadre formel. Je créé délibérément cette tension entre le détail presque photo-réaliste et mon propre vocabulaire issu de défaillances visuelles, lesquelles contournent justement ce réalisme. Cette dualité est centrale pour mon travail et permet à mes figures d'être à la fois figuratives et abstraites, ce qui explique qu'elle déclenchent une émotion sans pour autant vraiment la fixer.“
Une fois la composition trouvée, Cone procède, d'après ses dires, de façon très traditionnelle: elle dessine les esquisses sur la toile, les emplies de couches de couleurs et, suivant les circonstances, laisse place aux changements pendant l'acte de peinture. Les résultats sont ainsi des images particulièrement impressionnantes comme Allure, ce portrait / non-portrait abstrait-figuratif d'une jeune femme en robe rouge. Formellement, un équilibre élégant entre mouvements rigides et tendus, mélange réussit entre minimalisme abstrait et réalisme figuratif.
Geraldine Blum
Curriculum vitæ
1976 | Née à Lubbock, Texas, USA |
1998 | Bachelor of Fine Art de peinture, de l'Université du Texas, Austin, Texas |
Vie et travaille à Santa Fe, USA |
Collections
Department of Cultural Affairs/New Mexico Arts Permanent Collection, Santa Fe, New Mexico |
Four Seasons Hotels & Resorts, Washington, D.C. |
The Tullman Collection, Chicago, Illinois |
Standard Chartered Bank, Londres, UK |
Expositions
Single Expositions (Sélection) | |
2013 | Desiderata, Nüart Galerie, Santa Fe, New Mexico |
2012 | Theory of Forms, Nüart Galerie, Santa Fe, New Mexico |
Ingenue, Hespe Galerie, San Francisco, California | |
2011 | Denouement, Nüart Gallery, Santa Fe, New Mexico |
2010 | Passages, Hespe Galerie, San Francisco, Californie |
2009 | Blessed Unrest, Nüart Galerie, Santa Fe, New Mexico |
2008 | Possible Outcomes, Hespe Galerie, San Francisco, California |
Departure, Wally Workman Galerie, Austin, Texas | |
2007 | Synchronicity, Nüart Galerie, Santa Fe, New Mexico |
2006 | Secrets, Hespe Galerie, San Francisco, California |
2005 | 3, Andreeva Galerie, Santa Fe, New Mexico |
Erin Cone: 5th Annual Show, Wally Workman Galerie, Austin, Texas | |
2004 | Transformation, Seven-o-seven Contemporary, Santa Fe, New Mexico |
Interval, Wally Workman Galerie, Austin, Texas | |
2003 | Configuration, Seven-o-seven Contemporary, Santa Fe, New Mexico |
Expositions collectives (Sélection) | |
2011 | In Portrait, Blank Space Gallery, New York, New York |
2010 | Galerie Artists, Rosenbaum Contemporary, Boca Raton, Floride |
2009 | Artist’s Choice, Principle Galerie, Alexandria, en Virginie |
2008 | Inaugural Exhibit, MMFA, Palm Desert, Californie |
2007 | 9th Annual Realism Invitational, Jenkins-Johnson Galerie, New York, New York |
2006 | Small Works, Principle Galerie, Alexandria, en Virginie |
2005 | Self Portraits by Contemporary Masters, Andreeva Galerie, Santa Fe, New Mexico |
Entrevue
Picasso a dit un jour « Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver. » Et vous, où trouvez-vous votre inspiration artistique ?
Je me concentre sur un idéal plutôt que sur du réalisme au sens strict. Je repère les prémices de cet idéal dans la manière dont je regarde le monde, en condensant et en affinant ce que je vois autour de moi. C’est l’élément particulier d’une œuvre d’art qui, bien souvent, déclenche en moi une idée. Il arrive également que je perçoive un moment précis avec une clarté absolue : la façon dont l’espace négatif apparaît autour d’une sculpture ou encore le vide laissé par la scène autour d’un danseur. Grâce à cette vision, je trouve de l’inspiration partout : dans le design, la mode, le cinéma, la nature, parmi les gens que j’observe. Si je sais ce qui me motive et que je reste fidèle à ma vision, je peux m’inspirer de beaucoup de choses.
De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
En général, je commence une œuvre sans la planifier à l’avance. Au contraire, je laisse les choses prendre forme par elles-mêmes en me consacrant à ce qui m’intéresse le plus sur le moment. Je commence par des esquisses de poses, de gestes et d’idées, que j’utilise ensuite comme base pour une séance photo. La plupart du temps, je me photographie moi-même ou alors un mannequin, si j’en trouve un. Ensuite, je traite ces photos sur ordinateur puis en tire des épreuves numériques avant d’entamer la peinture proprement dite. Lorsque je compose mes œuvres, je m’efforce de trouver la bonne disposition pour la forme et l’espace. Y parvenir résulte d’un processus très intuitif. Une fois cette étape franchie, c’est comme si je résolvais un puzzle. Mon objectif est d’obtenir une composition d’ensemble possédant une force abstraite inhérente, renforçant le contenu figuratif et fonctionnant indépendamment de celui-ci. Dès l’instant où j’aboutis à la solution visuelle recherchée, je procède de manière on ne peut plus conventionnelle : je trace un dessin détaillé sur la toile, que j’élabore par couches répétées de gouache et de glacis. Lorsque je peins, je m’autorise à quelques libertés par rapport à ce que j’avais initialement prévu : je transige avec l’inattendu, tant pour améliorer mon expression que pour enrichir mes connaissances.
Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
Aussi bien pour son œuvre que pour sa vie, Georgia O’Keefe a toujours été pour moi une grande source d’inspiration, et ce, depuis un âge précoce. Son talent à faire interagir réalisme et abstraction a fortement influencé mon travail. Elle fut également l’une des premières artistes américaines à s’imposer dans un milieu artistique largement dominé par les hommes, tout en restant fidèle à sa vision. Elle m’inspire à maints égards.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?
J’ai toujours su, depuis que je suis petite fille, que je deviendrais artiste. J’ai peint et dessiné pendant toute mon enfance. Après avoir obtenu mon Bachelor of Fine Arts , spécialité peinture, à l’université, j’ai d’abord travaillé comme graphiste pendant quelques années, car je doutais de pouvoir gagner ma vie en tant que peintre. Et puis, à l’âge de 24 ans, j’ai décidé de faire le grand saut et de pleinement me consacrer à la peinture.
Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé(e) ?
Pour moi, l’astuce consiste à ne pas me laisser influencer justement. J’essaie de suivre le conseil de Georgia O’Keefe : « Regarde avec tes propres yeux, ressens les choses avec ton propre cœur et exprime-les à ta propre manière ». C’est l’une de mes citations préférées.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Je prépare actuellement une exposition où je présenterai de nouveaux tableaux poursuivant l’exploration de la forme féminine au sein d’un espace abstrait élaboré et sophistiqué. Dans cette nouvelle série, je m’intéresse notamment au temps qui précède l’action et la décision – un moment opportun où tout est possible. Ce concept évolue au fil de mon travail et je suis curieuse de voir où il me mènera.
Je me concentre sur un idéal plutôt que sur du réalisme au sens strict. Je repère les prémices de cet idéal dans la manière dont je regarde le monde, en condensant et en affinant ce que je vois autour de moi. C’est l’élément particulier d’une œuvre d’art qui, bien souvent, déclenche en moi une idée. Il arrive également que je perçoive un moment précis avec une clarté absolue : la façon dont l’espace négatif apparaît autour d’une sculpture ou encore le vide laissé par la scène autour d’un danseur. Grâce à cette vision, je trouve de l’inspiration partout : dans le design, la mode, le cinéma, la nature, parmi les gens que j’observe. Si je sais ce qui me motive et que je reste fidèle à ma vision, je peux m’inspirer de beaucoup de choses.
De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
En général, je commence une œuvre sans la planifier à l’avance. Au contraire, je laisse les choses prendre forme par elles-mêmes en me consacrant à ce qui m’intéresse le plus sur le moment. Je commence par des esquisses de poses, de gestes et d’idées, que j’utilise ensuite comme base pour une séance photo. La plupart du temps, je me photographie moi-même ou alors un mannequin, si j’en trouve un. Ensuite, je traite ces photos sur ordinateur puis en tire des épreuves numériques avant d’entamer la peinture proprement dite. Lorsque je compose mes œuvres, je m’efforce de trouver la bonne disposition pour la forme et l’espace. Y parvenir résulte d’un processus très intuitif. Une fois cette étape franchie, c’est comme si je résolvais un puzzle. Mon objectif est d’obtenir une composition d’ensemble possédant une force abstraite inhérente, renforçant le contenu figuratif et fonctionnant indépendamment de celui-ci. Dès l’instant où j’aboutis à la solution visuelle recherchée, je procède de manière on ne peut plus conventionnelle : je trace un dessin détaillé sur la toile, que j’élabore par couches répétées de gouache et de glacis. Lorsque je peins, je m’autorise à quelques libertés par rapport à ce que j’avais initialement prévu : je transige avec l’inattendu, tant pour améliorer mon expression que pour enrichir mes connaissances.
Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
Aussi bien pour son œuvre que pour sa vie, Georgia O’Keefe a toujours été pour moi une grande source d’inspiration, et ce, depuis un âge précoce. Son talent à faire interagir réalisme et abstraction a fortement influencé mon travail. Elle fut également l’une des premières artistes américaines à s’imposer dans un milieu artistique largement dominé par les hommes, tout en restant fidèle à sa vision. Elle m’inspire à maints égards.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?
J’ai toujours su, depuis que je suis petite fille, que je deviendrais artiste. J’ai peint et dessiné pendant toute mon enfance. Après avoir obtenu mon Bachelor of Fine Arts , spécialité peinture, à l’université, j’ai d’abord travaillé comme graphiste pendant quelques années, car je doutais de pouvoir gagner ma vie en tant que peintre. Et puis, à l’âge de 24 ans, j’ai décidé de faire le grand saut et de pleinement me consacrer à la peinture.
Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé(e) ?
Pour moi, l’astuce consiste à ne pas me laisser influencer justement. J’essaie de suivre le conseil de Georgia O’Keefe : « Regarde avec tes propres yeux, ressens les choses avec ton propre cœur et exprime-les à ta propre manière ». C’est l’une de mes citations préférées.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Je prépare actuellement une exposition où je présenterai de nouveaux tableaux poursuivant l’exploration de la forme féminine au sein d’un espace abstrait élaboré et sophistiqué. Dans cette nouvelle série, je m’intéresse notamment au temps qui précède l’action et la décision – un moment opportun où tout est possible. Ce concept évolue au fil de mon travail et je suis curieuse de voir où il me mènera.
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