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Pat Swain
Un flamant rose et un pélican égarés dans la forêt vierge… Ce pourrait être le début d’une fable fantastique ou… d’une photographie nous interloquant, tout simplement : « Qu’y a-t-il… En savoir plus
Introduction Curriculum vitæ Expositions Entrevue
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Informations de fond sur Pat Swain
Introduction
Un flamant rose et un pélican égarés dans la forêt vierge… Ce pourrait être le début d’une fable fantastique ou… d’une photographie nous interloquant, tout simplement : « Qu’y a-t-il de vrai, d’inventé de toutes pièces ? ». L’artiste new-yorkaise Pat Swain est une pionnière de l’art numérique. Grâce à sa technique expérimentale, elle a développé un style artistique très particulier.
Ses séries conceptuelles établissent un nouveau rapport entre l’animal et son milieu : elles le détachent de son habitat naturel et donnent vie à des impulsions visuelles inédites. En effet, ces oiseaux gracieux s’intègrent à merveille dans cette luxuriante forêt tropicale. Le contraste spectaculaire des couleurs détermine la force des images de Pat Swain, la texture des plumes faisant écho à la structure des plantes.
Un flamant rose égaré dans la forêt vierge, mais que fait-il ici ? Ici, la question de la fonction reproductive de la photographie est reléguée au second plan. Pat Swain ne recrée pas seulement l’environnement, mais transplante numériquement les oiseaux. Pat Swain photographie des animaux de zoo qu’elle incorpore ensuite dans ces paysages où jamais on ne les aurait trouvés. L’artiste évoque la relation qu’entretient l’Homme avec son environnement. Elle attire l’attention sur la préservation des espèces et de leurs espaces de vie naturels.
It has come to thisDans les œuvres signées Pat Swain, la nature nous fascine autant sa beauté composite que par la force de sa grâce. Ici, les plantes et les fleurs exotiques se lancent dans une conquête pour le moins inhabituelle : elles réinvestissent des habitats qui jadis leur appartenaient et entrent dans une relation particulièrement harmonieuse avec l’architecture des lieux. Ses œuvres célèbrent la rencontre d’une flore magnifique avec des formes classiques et élégantes. Pour couronner le tout, Pat Swain met en scène d’aimables oiseaux se faisant passer pour les nouveaux résidents. Voilà comment, dans les peintures murales, le flamant rose est reflété par ses congénères : le dialogue des échassiers agit alors comme une métaphore des arts veillant sur la nature. Dans cette nouvelle série, l’artiste rapproche la fugacité de notre civilisation avec la puissance éternelle de Dame Nature.
Ses séries conceptuelles établissent un nouveau rapport entre l’animal et son milieu : elles le détachent de son habitat naturel et donnent vie à des impulsions visuelles inédites. En effet, ces oiseaux gracieux s’intègrent à merveille dans cette luxuriante forêt tropicale. Le contraste spectaculaire des couleurs détermine la force des images de Pat Swain, la texture des plumes faisant écho à la structure des plantes.
Un flamant rose égaré dans la forêt vierge, mais que fait-il ici ? Ici, la question de la fonction reproductive de la photographie est reléguée au second plan. Pat Swain ne recrée pas seulement l’environnement, mais transplante numériquement les oiseaux. Pat Swain photographie des animaux de zoo qu’elle incorpore ensuite dans ces paysages où jamais on ne les aurait trouvés. L’artiste évoque la relation qu’entretient l’Homme avec son environnement. Elle attire l’attention sur la préservation des espèces et de leurs espaces de vie naturels.
It has come to thisDans les œuvres signées Pat Swain, la nature nous fascine autant sa beauté composite que par la force de sa grâce. Ici, les plantes et les fleurs exotiques se lancent dans une conquête pour le moins inhabituelle : elles réinvestissent des habitats qui jadis leur appartenaient et entrent dans une relation particulièrement harmonieuse avec l’architecture des lieux. Ses œuvres célèbrent la rencontre d’une flore magnifique avec des formes classiques et élégantes. Pour couronner le tout, Pat Swain met en scène d’aimables oiseaux se faisant passer pour les nouveaux résidents. Voilà comment, dans les peintures murales, le flamant rose est reflété par ses congénères : le dialogue des échassiers agit alors comme une métaphore des arts veillant sur la nature. Dans cette nouvelle série, l’artiste rapproche la fugacité de notre civilisation avec la puissance éternelle de Dame Nature.
Curriculum vitæ
Pat Swain est une photographe dont l’œuvre a été maintes fois primée. Titulaire de deux maîtrises en arts obtenues au Pratt Institute de New York et à l'université Columbia, ses photographies ont été publiées dans plusieurs revues. Elle a remporté de nombreux prix dont le London Creative Award “Discovery of the Year”. Elle s’est en outre qualifiée comme finaliste aux International Photo Awards “Talent of the Year” et s’est hissée à la première place des Paris PX3 Photo Awards.
Ses travaux ont été exposés dans les galeries et musées suivants : le musée Goulandris d’histoire naturelle à Athènes ; le Los Angeles Museum of Digital Art ; la Koc Foundation, à Istanbul (Turquie) ; et le Petrified Forest National Park, dans l’Arizona (États-Unis). Pat Swain a également enseigné l’imagerie numérique à la School of Visual Arts de New York et dans d’autres universités. Elle vit et travaille à New York.
Ses travaux ont été exposés dans les galeries et musées suivants : le musée Goulandris d’histoire naturelle à Athènes ; le Los Angeles Museum of Digital Art ; la Koc Foundation, à Istanbul (Turquie) ; et le Petrified Forest National Park, dans l’Arizona (États-Unis). Pat Swain a également enseigné l’imagerie numérique à la School of Visual Arts de New York et dans d’autres universités. Elle vit et travaille à New York.
Distinctions
2020 | International Photo Awards - Honorable Mention/Fine Art-Other, The 2020 Photo Review 36th Annual 15th Edition of Julia Cameron Award - Honorable Mention/Nature | |
2019 | 14th Edition of Julia Cameron Award: Winner Still Life Category New York Center for Photography: Grand Prize Shoot The Frame: Wildlife Finalist | |
2017 | 10th Pollux Award: Honorable Mention Fine Art Julia Cameron 10th Edition: Winner Fine Art | |
2016 | Art for Apes, Second Prize Paris PX3 Award: Gold, Fine Art | |
2015 | Julia Cameron Awards 7th Edition Finalist, Fine Art, | |
2014 | The Center for Fine Art Photography: Juror’s Choice Center Forward Award | |
2013 | Paris PX3 Photo Awards: First Place Professional Women Photographers: Honorable Mention | |
2012 | London International Creative Awards: Talent of the Year The Worldwide Photography Gala Awards: Fine Arts: Runner-Up: 2 Loupe Awards: Silver award for Lost Flamingos in the Cloud Forest ArtSlant: 3rd, 4th, 6th Third Edition of The Julia Cameron Awards: Finalist Professional Women Photographers: Second Prize | |
2011 | Dave Bown Project Award World Photography Awards: Pollux Award April: 2nd Prize The Julia Margaret Cameron Awards, Second Edition: Third Place | |
2010 | The International Aperture Awards: Silver and Bronze Award International Photo Awards: Finalist for the Lucie Award Los Angeles Center For Digital Art "DigitalArt.LA" Winner PX3 Paris de la Photographie: First Place The Jacob Riis Portfolio Awards: Portfolio finalist | |
2009 | The International Aperture Awards: Silver and Bronze Award Photo District News Faces Contest: Winner Pet Division |
Collections
The Hopiteaux Universities a Genève, Geneva, Switzerland
Koc Foundation, Istanbul, Turkey
The Center of Fine Art Photography, Fort Collins, USA
The Gumusluk Academy, Bodrum, Turkey
Los Angeles Museum of Digital Art, LA, USA
Petrified Forest National Park, Arizona, USA
Pratt Institute, Brooklyn, NY, USA
World Photography Organization, USA
Koc Foundation, Istanbul, Turkey
The Center of Fine Art Photography, Fort Collins, USA
The Gumusluk Academy, Bodrum, Turkey
Los Angeles Museum of Digital Art, LA, USA
Petrified Forest National Park, Arizona, USA
Pratt Institute, Brooklyn, NY, USA
World Photography Organization, USA
Expositions
Expositions individuelles
2018 | Wild Bird Fund, New York, USA |
2011 | The Chickens of Cappadocia, Los Angeles Center for Digital Art Los Angeles, USA |
2010 | The Chickens of Cappadocia, C.A.M. Gallery, Istanbul, Turkey |
Expositions collectives
2020 | The 2020 Photo Review 36th Annual online Ausstellung Fusion Art, online Ausstellung FotoNostrum Gallery, Barcelona, Spain |
2019 | Jadite Gallery, New York, USA Wild Bird Fund, New York, USA |
2018 | New York Center of Photography, online Ausstellung |
2017 | Limner Gallery, Hudson, New York, USA |
2016 | Art For Apes, Wynwood, Miami, USA Center of Fine Art Photography, Fort Collins, USA Hazan Projects, New York, USA Rolando Chang Barrero Fine Art, Lake Worth, USA |
2015 | The Fence: Photoville: Boston, Brooklyn, Atlanta, Houston, USA Talon Gallery, AZ in Conjunction with Petrified Forest Artist Residency, Show Low, USA Goulandris Museum in Kissifad, Athen, Greece |
2014 | Heritage Museum of Malaga, Spain The Photo Review: Online Ausstellung The Center for Fine Art Photography, New York, USA |
2013 | Sofia Photo Salon, Lost Flamingo in the Cloud Forest, Sofia, Bulgaria Photo Place Gallery, Middlebury, USA |
2012 | Garrison Art Center, Garrison, New York, USA NO Gallery, New York, USA Photo Place Gallery, Middlebury, USA Borges Cultural Center, Buenos Aires, Argentina Palais de Glace / Buenos Aires, Argentina |
2011 | Los Angeles Center for Digital Art, Los Angeles, USA The Kiernan Gallery, Lexington, USA Julia Cameron Awards, Palais de Glace, Buenos Aires, Argentina |
2010 | Los Angeles Center for Digital Art, Los Angeles, USA PX3 Exhibition, Espace DUPON, Paris, France |
Entrevue
Picasso a dit un jour « Chercher ne signifie rien en peinture. Ce qui compte, c’est trouver. » Et vous, où trouvez-vous votre inspiration artistique ?
J’ai toujours été attirée par les extrêmes, dans lesquels j’inclus également le sublime, le fantasque voire le beau. Les animaux, les oiseaux, m’inspirent parce que je les aime. Les paysages sont pour moi une inépuisable source d’inspiration profonde qui me relie à une forme de supériorité de l’existence. La nature est ma spiritualité. Je ne sais vraiment pas comment je trouve mes idées ; elles ont une vie propre. J’ai un don pour associer des concepts apparemment sans rapport. Cela crée des situations intéressantes. Une certaine excitation est palpable lorsque je trouve quelque chose.
De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
En général, une idée me pousse à aller de l’avant pour créer une image. Il s’agit souvent d’un d’arrière-plan ou d’un paysage. Je photographie ensuite tous les éléments dont j’ai besoin – feuillages, animaux, etc. Je les rassemble, les dispose, les assemble et les retouche dans Photoshop. Étant donné que ce que je cherche dans l’image est invisible au premier abord, je la retravaille jusqu’à trouver la bonne, jusqu’à ce qu’elle me parle. Si j’ai besoin de composants supplémentaires pendant sa création, il me suffit de les prendre en photo. C’est un processus à la fois planifié et intuitif. Et quand il touche à sa fin, je travaille très dur pour l’achever. Une image peut me prendre jusqu’à deux mois... parfois plus.
Quel est votre livre préféré ?
Il y a beaucoup de livres que j’affectionne, mais celui que je préfère est un album de Brassaï intitulé Paris la nuit. Je ne me lasse pas de regarder ses magnifiques photos noir et blanc du Paris underground et nocturne des années 1930.
Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
Picasso est sans conteste l’artistique de préfère. Je possède d’ailleurs dans mon studio une photo de lui prise par David Seymour, ai suivi un cours sur Picasso à l’université et ai lu de nombreux ouvrages sur sa personne). Picasso et moi discuterions du recours à la photographie dans son œuvre, de ses meilleurs moments dans la vie, de ses œuvres préférées et des raisons de ce choix. J’essaierais de comprendre pourquoi il se sentait si obligé de détruire les femmes avec lesquelles il entretenait une relation, surtout quand elles le quittaient. Mais il n’accepterait sûrement pas de parler de cela. Il quitterait le café où nous serions assis ! Je crois que j’aurais gardé ce sujet pour la fin.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?
Je me suis mise à la photo par accident. J’avais suivi une option artistique au lycée et m’étais alors rendu compte que je ne savais absolument pas dessiner. Au bout de quelques semaines, je suis passée à la photographie, que je trouvais tout simplement fascinante. Je n’ai rien fait d’autre depuis.
Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé(e) ?
Personne autour de moi ne m’influence vraiment. La plupart du temps, mon inspiration et donc mes influences proviennent de l’observation de photos.
Imaginez que vous possédiez une machine à remonter le temps. Où vous transporterait-elle ?
Si je pouvais voyager dans le temps, ce serait à Paris dans les années 1920 et 1930. Un grand nombre de mes artistes fétiches appartiennent à cette période (j’aurais rencontré Picasso, aurais entamé une romance avec lui et l’aurais regretté pour le restant de mes jours).
Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?
En dehors de l’art, les animaux, l’environnement et la nature sont ma plus grande passion. Cela se devine à travers mes peintures, non ? Je manifeste également un grand intérêt pour certains aspects de l’entre-deux-guerres et de la Seconde Guerre mondiale.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Outre mes peintures consacrées à la nature, je suis toujours en quête de nouvelles choses entre deux œuvres. Comme le disait si bien Picasso, « on ne cherche pas en peinture, on trouve ». Je suis à l’affût d’une « trouvaille » exaltante. Bientôt, j’espère.
J’ai toujours été attirée par les extrêmes, dans lesquels j’inclus également le sublime, le fantasque voire le beau. Les animaux, les oiseaux, m’inspirent parce que je les aime. Les paysages sont pour moi une inépuisable source d’inspiration profonde qui me relie à une forme de supériorité de l’existence. La nature est ma spiritualité. Je ne sais vraiment pas comment je trouve mes idées ; elles ont une vie propre. J’ai un don pour associer des concepts apparemment sans rapport. Cela crée des situations intéressantes. Une certaine excitation est palpable lorsque je trouve quelque chose.
De l’idée à sa réalisation : comment abordez-vous votre travail ?
En général, une idée me pousse à aller de l’avant pour créer une image. Il s’agit souvent d’un d’arrière-plan ou d’un paysage. Je photographie ensuite tous les éléments dont j’ai besoin – feuillages, animaux, etc. Je les rassemble, les dispose, les assemble et les retouche dans Photoshop. Étant donné que ce que je cherche dans l’image est invisible au premier abord, je la retravaille jusqu’à trouver la bonne, jusqu’à ce qu’elle me parle. Si j’ai besoin de composants supplémentaires pendant sa création, il me suffit de les prendre en photo. C’est un processus à la fois planifié et intuitif. Et quand il touche à sa fin, je travaille très dur pour l’achever. Une image peut me prendre jusqu’à deux mois... parfois plus.
Quel est votre livre préféré ?
Il y a beaucoup de livres que j’affectionne, mais celui que je préfère est un album de Brassaï intitulé Paris la nuit. Je ne me lasse pas de regarder ses magnifiques photos noir et blanc du Paris underground et nocturne des années 1930.
Avec quel artiste aimeriez-vous prendre un café et de quoi parleriez-vous ?
Picasso est sans conteste l’artistique de préfère. Je possède d’ailleurs dans mon studio une photo de lui prise par David Seymour, ai suivi un cours sur Picasso à l’université et ai lu de nombreux ouvrages sur sa personne). Picasso et moi discuterions du recours à la photographie dans son œuvre, de ses meilleurs moments dans la vie, de ses œuvres préférées et des raisons de ce choix. J’essaierais de comprendre pourquoi il se sentait si obligé de détruire les femmes avec lesquelles il entretenait une relation, surtout quand elles le quittaient. Mais il n’accepterait sûrement pas de parler de cela. Il quitterait le café où nous serions assis ! Je crois que j’aurais gardé ce sujet pour la fin.
Qu’est-ce qui vous a poussé vers les disciplines artistiques ?
Je me suis mise à la photo par accident. J’avais suivi une option artistique au lycée et m’étais alors rendu compte que je ne savais absolument pas dessiner. Au bout de quelques semaines, je suis passée à la photographie, que je trouvais tout simplement fascinante. Je n’ai rien fait d’autre depuis.
Par quelles personnes de votre entourage êtes-vous particulièrement influencé(e) ?
Personne autour de moi ne m’influence vraiment. La plupart du temps, mon inspiration et donc mes influences proviennent de l’observation de photos.
Imaginez que vous possédiez une machine à remonter le temps. Où vous transporterait-elle ?
Si je pouvais voyager dans le temps, ce serait à Paris dans les années 1920 et 1930. Un grand nombre de mes artistes fétiches appartiennent à cette période (j’aurais rencontré Picasso, aurais entamé une romance avec lui et l’aurais regretté pour le restant de mes jours).
Hormis les arts, quelle est votre plus grande passion ?
En dehors de l’art, les animaux, l’environnement et la nature sont ma plus grande passion. Cela se devine à travers mes peintures, non ? Je manifeste également un grand intérêt pour certains aspects de l’entre-deux-guerres et de la Seconde Guerre mondiale.
Sur quoi travaillez-vous en ce moment ?
Outre mes peintures consacrées à la nature, je suis toujours en quête de nouvelles choses entre deux œuvres. Comme le disait si bien Picasso, « on ne cherche pas en peinture, on trouve ». Je suis à l’affût d’une « trouvaille » exaltante. Bientôt, j’espère.
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