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Helmut Hirler
LE VASTE MONDE Helmut Hirler se retrouve dans la tradition intacte des courageux sapeurs dont le but était, à travers les siècles, de décrire l’inconnu et la beauté de la terre. Quand la… En savoir plus
Introduction Curriculum vitæ Expositions
Auchindoun, Scotland
Europe
à partir de € 549
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Europe
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Near Mogno, Valle Maggia, Ticino, Switzerland
Europe
à partir de € 549
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Europe
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Le Mont St. Michel, Bretagne, France
Europe
à partir de € 549
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à partir de € 549
Miranda, Portugal
Europe
€ 549
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€ 549
Athabasca River, Alberta, Canada
Canada
à partir de € 549
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Mae Sa, Chiang Mai, Thailand
Asia
à partir de € 549
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Asia
à partir de € 549
Bagan, Myanmar
Asia
à partir de € 549
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Dhammayazika Pagoda, Bagan, Myanmar
Asia
à partir de € 549
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Asia
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Tad Se, Luang Prabang, Laos
Asia
à partir de € 549
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Yangshuo, China
Asia
à partir de € 549
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Skeleton Coast, Namibia
Africa
à partir de € 549
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M´hamid, Morocco
Africa
à partir de € 549
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Africa
à partir de € 549
Informations de fond sur Helmut Hirler
Introduction
LE VASTE MONDE
Helmut Hirler se retrouve dans la tradition intacte des courageux sapeurs dont le but était, à travers les siècles, de décrire l’inconnu et la beauté de la terre. Quand la photographie s’est mise à voyager au milieu du 19e siècle, elle damait le pion aux récits riches de mots, les complétait ou les remplaçait par l’examen de paysages et de cultures. Pour cela, les photographes étaient prêts à endurer des grandes fatigues. Ils accompagnaient des chercheurs pendant leurs expéditions qui, parfois, duraient des années. Ils voyageaient tous seuls pour, à leur retour, provoquer un grand étonnement avec leurs découvertes parmi ceux qui étaient restés à la maison. Encore aujourd’hui, les pièces uniques et les agrandissements de ces temps sont fortement demandés.
Des distances, comme celle entre son pays natal, le Allgäu, et les forteresses en Espagne, sont plutôt courtes pour le photographe Helmut Hirler. Il les franchie avec sa motocyclette, toujours accompagné par son appareil photo panoramique dans son sac à dos. Ce qui le tend aussi, c’est la recherche incessante de paysages lointains, naturels et culturels. L’écrivain Paul Theroux pourrait parler à travers son âme : « C’est la meilleure atmosphère pour un départ : J’étais prêt, j’étais prêt pour tout faire ; ce n’est que plus tard, quand on est en route, que l’on remarque que la distance la plus grande réveille la plus grande illusion et que le fait de voyager seul est un plaisir et un poids en même temps. »* Le photographe Hirler raconte à l’aide d’images panoramiques de ses tours longs et solitaires. Il est couramment attiré par les paysages du sud. La région asiatique du Pacifique est une de ses destinations principales. Mais il prête aussi son attention aux paysages forestiers de son pays natal au sud de l’Allemagne. Dans son travail, il les considère de la même façon que les grands déserts, les vallées cachées et les vénérables complexes de temples asiatiques. Son œuvre est régulièrement honoré par des expositions et des éditions de livres et de calendriers.
En Nouvelle-Zélande, Helmut Hirler a lancé une autre ancre de sa vie et de son oeuvre. Ici, comme dans d’autres pays, ses images sont exposées dans des galeries de haut rang. La vraie raison pour son amour envers la Nouvelle-Zélande n’est pourtant pas seulement dû à son succès, mais aussi à la nature de l’artiste. Pour lui, la meilleur chose d’une « journée du siècle » qu’il passe avec son appareil photo sous un ciel pur, est le fait de l’avoir passée en toute solitude, sans personne autour. Ceci est une expérience que l’on ne fait que très rarement en Europe centrale. Par contre, en Nouvelle- Zélande, elle est bien possible, le même en Islande, dans des parties de l’Espagne centrale et dans toutes les régions de pure nature que Hirler va voir sans cesse. « Le paysage inconnu est la raison la plus importante pour aller le voir» - tel le mot d’ordre de Paul Theroux.
Pour ses voyages photographiques dans des nouvelles régions, Helmut Hirler prend beaucoup de temps - comme, dernièrement, en 2007. Dans son bagage, Helmut Hirler a eu un appareil photo spécial : une vieille Technorama avec un format de pellicule photographique de 6x17 cm. Avec celle-ci, il conserve sur la pellicule noir et blanc des images d’une brillance difficile à dépasser. Seulement quatre photographies sont enfin prises sur une pellicule. Souvent, il utilise du matériel infrarouge et des combinaisons sophistiqués de filtres pour rendre aux paysages le drame fortement éprouvé. Par ses photographies, Hirler renforce la rencontre avec la nature et continue ce dialogue dans la chambre noire. Il ne passe l’image élaborée dans des fins tons de gris qu’au moment où elle commence à parler. L’image doit parler de randonnées solitaires à travers des vastes paysages et à travers leur beauté. Dans ce contexte, « être attaché à la nature » semble être une tournure inadéquate pour décrire le dévouement de Hirler. Quelque chose de beaucoup plus fort passe par la surface de ses photographies : C’est l’amour sans restriction pour le monde visible.
Horst Klöver
* Dans: Bruce Chatwin/Paul Theroux, Wiedersehen mit Patagonien (Retrouvaille avec la Patagonie), Munich 1985
Helmut Hirler se retrouve dans la tradition intacte des courageux sapeurs dont le but était, à travers les siècles, de décrire l’inconnu et la beauté de la terre. Quand la photographie s’est mise à voyager au milieu du 19e siècle, elle damait le pion aux récits riches de mots, les complétait ou les remplaçait par l’examen de paysages et de cultures. Pour cela, les photographes étaient prêts à endurer des grandes fatigues. Ils accompagnaient des chercheurs pendant leurs expéditions qui, parfois, duraient des années. Ils voyageaient tous seuls pour, à leur retour, provoquer un grand étonnement avec leurs découvertes parmi ceux qui étaient restés à la maison. Encore aujourd’hui, les pièces uniques et les agrandissements de ces temps sont fortement demandés.
Des distances, comme celle entre son pays natal, le Allgäu, et les forteresses en Espagne, sont plutôt courtes pour le photographe Helmut Hirler. Il les franchie avec sa motocyclette, toujours accompagné par son appareil photo panoramique dans son sac à dos. Ce qui le tend aussi, c’est la recherche incessante de paysages lointains, naturels et culturels. L’écrivain Paul Theroux pourrait parler à travers son âme : « C’est la meilleure atmosphère pour un départ : J’étais prêt, j’étais prêt pour tout faire ; ce n’est que plus tard, quand on est en route, que l’on remarque que la distance la plus grande réveille la plus grande illusion et que le fait de voyager seul est un plaisir et un poids en même temps. »* Le photographe Hirler raconte à l’aide d’images panoramiques de ses tours longs et solitaires. Il est couramment attiré par les paysages du sud. La région asiatique du Pacifique est une de ses destinations principales. Mais il prête aussi son attention aux paysages forestiers de son pays natal au sud de l’Allemagne. Dans son travail, il les considère de la même façon que les grands déserts, les vallées cachées et les vénérables complexes de temples asiatiques. Son œuvre est régulièrement honoré par des expositions et des éditions de livres et de calendriers.
En Nouvelle-Zélande, Helmut Hirler a lancé une autre ancre de sa vie et de son oeuvre. Ici, comme dans d’autres pays, ses images sont exposées dans des galeries de haut rang. La vraie raison pour son amour envers la Nouvelle-Zélande n’est pourtant pas seulement dû à son succès, mais aussi à la nature de l’artiste. Pour lui, la meilleur chose d’une « journée du siècle » qu’il passe avec son appareil photo sous un ciel pur, est le fait de l’avoir passée en toute solitude, sans personne autour. Ceci est une expérience que l’on ne fait que très rarement en Europe centrale. Par contre, en Nouvelle- Zélande, elle est bien possible, le même en Islande, dans des parties de l’Espagne centrale et dans toutes les régions de pure nature que Hirler va voir sans cesse. « Le paysage inconnu est la raison la plus importante pour aller le voir» - tel le mot d’ordre de Paul Theroux.
Pour ses voyages photographiques dans des nouvelles régions, Helmut Hirler prend beaucoup de temps - comme, dernièrement, en 2007. Dans son bagage, Helmut Hirler a eu un appareil photo spécial : une vieille Technorama avec un format de pellicule photographique de 6x17 cm. Avec celle-ci, il conserve sur la pellicule noir et blanc des images d’une brillance difficile à dépasser. Seulement quatre photographies sont enfin prises sur une pellicule. Souvent, il utilise du matériel infrarouge et des combinaisons sophistiqués de filtres pour rendre aux paysages le drame fortement éprouvé. Par ses photographies, Hirler renforce la rencontre avec la nature et continue ce dialogue dans la chambre noire. Il ne passe l’image élaborée dans des fins tons de gris qu’au moment où elle commence à parler. L’image doit parler de randonnées solitaires à travers des vastes paysages et à travers leur beauté. Dans ce contexte, « être attaché à la nature » semble être une tournure inadéquate pour décrire le dévouement de Hirler. Quelque chose de beaucoup plus fort passe par la surface de ses photographies : C’est l’amour sans restriction pour le monde visible.
Horst Klöver
* Dans: Bruce Chatwin/Paul Theroux, Wiedersehen mit Patagonien (Retrouvaille avec la Patagonie), Munich 1985
Curriculum vitæ
1954 | né |
1970-1973 | Formation de photographe |
1978-1980 | Cours de maître, Bayrische Staatslehranstalt für Photographie, Munich, Allemagne |
1979-présent | Technischer Lehrer für Photographie an der Gewerbliche Schule, Bad Saulgau, Munich, Allemagne |
Distinctions
2008 | iF Communication Design Award (livre Castillos) |
Red Dot Award (livre Castillos) | |
Red Dot Award (calendrier Great Landscapes) | |
Internationale Kalenderschau Stuttgart, Allemagne (calendrier Trees-Bäume) | |
2006 | DDC Award (Design Club Germany) |
Internationale Kalenderschau Stuttgart, Allemagne | |
Internationaler KODAK Kalender Preis | |
15. Trierenberg Super Circuit | |
iF Communication Design Award (livre Zeit des Wartens) | |
iF Communication Design Award (livre Trees-Bäume) | |
Red Dot Award | |
2005 | iF Communication Design Award |
2004 | Internationale Kalenderschau Stuttgart, Allemagne |
Internationaler KODAK Kalender Preis | |
13. Hasselblad Austrian Super Circuit | |
iF Communication Design Award | |
Red Dot Award | |
1. World of Images Circuit, Linz, Autriche | |
2003 | Internationale Kalenderschau Stuttgart, Allemagne |
Internationaler KODAK Kalender Preis | |
International AGFAnet Photo Award | |
12. Hasselblad Austrian Super Circuit | |
Societe des Artistes Francais, Le Salon 2003, Paris, France | |
2002 | 11. Hasselblad Austrian Super Circuit |
2001 | International Exhibition of Photography, Oregon, USA |
1999 | AGFAnet Internationaler Landschafts Wettbewerb |
International Exhibition of Photography, Oregon, USA | |
1998 | International Exhibition of Photography, Oregon, USA |
médaille d'or, Photographic Society of America | |
médaille de bronze, Oregon State Fair | |
Tetenal FINE ART AWARD | |
Panorama compétition, Kamerawerke Dresden, Allemagne | |
1997 | International Exhibition of Photography, Oregon, USA |
World Heritage |
Expositions
Das andere Amerika, centre de culture et congrès Vöhringen, Ulm, Allemagne |
Castillos, centre de culture et congrès Vöhringen, Ulm, Allemagne |
Tierra Magica, centre de culture et congrès Vöhringen, Ulm, Allemagne |
Fragmente - Bilder aus Amerika, Berliner Palais, Unter den Linden, Berlin, Allemagne |
Bilder aus Patagonien, LINHOF-Galerie, Munich, Allemagne |
Castillos, LINHOF-Galerie, Munich, Allemagne |
Schwarz-Weiss, Kunsträume Farmsen, Hambourg, Allemagne |
Die Vergessenen, Werkstattgalerie Tam Uekermann, Cologne, Allemagne |
Arcana Naturae, Haus der Photographie, Hanovre, Allemagne |
Tierra Magica, Galerie Lände, Kressbronn, Allemagne |
Tierra Magica, Fototage, Laupheim, Allemagne |
Von Landschaft inspiriert, Schloss Achberg, Allemagne |
Tierra Magica; et Mahnmale der Endlichkeit, Schloss Salem, Allemagne |
Mahnmale der Endlichkeit, centre de culture LINSE, Weingarten/Ravensburg, Allemagne |
Castillos, Plassenburg, Kulmbach, Allemagne |
Castillos, Primacolor, Jakarta, Indonésie |
Tierra Magica; et Fragilitas, Rosenau, Kempten, Allemagne |
Tierra Magica, mairie, Wurtzbourg, Allemagne |
Castillos, Felix-Fechenbach-Haus, Wurtzbourg, Allemagne |
Castillos, Waaghaus, Ravensburg, Allemagne |
Arcana Naturae, Museum Quadrat Bottrop, Allemagne |
Castillos, Kreissparkasse Leutkirch, Allemagne |
Mahnmale der Endlichkeit, centre œcuménique Sanctclara, Mannheim, Allemagne |
Photographien 1947-2004, de Toni Schneiders et Helmut Hirler, Galerie Fähre Bad Saulgau, Allemagne |
Castillos, Pasinger Fabrik, Munich, Allemagne |
Tierra Magica, Markgrafenschloss Emmendingen, Allemagne |
Zeit des Wartens, centre œcuménique Sanctclara, Mannheim, Allemagne |
Panorama Photographie, HOCHTIEF Galerie, Nuremberg, Allemagne |
Wasser, Petrikirche, Kulmbach, Allemagne |
Das Wasserprojekt 1, Reitstadl Neumarkt, Allemagne |
Iceland, VHS-Photo Galerie, Stuttgart, Allemagne |
River East Gallery, Greytown, Nouvelle-Zélande |
Panorama, Tin Crab Gallery, Waikanae Beach, Nouvelle-Zélande |
Flagstaff Gallery, Devonport, Auckland, Nouvelle-Zélande |
Peter Reynolds Interiors, Rotorua, Nouvelle-Zélande |
Galerie Kunst und Köstlich; et Neues Schloss, Kisslegg (Allgäu), Allemagne |
Aotearoa - Das Land der langen weißen Wolke - Bilder aus Neuseeland, centre de culture LINSE, Weingarten/Ravensburg, Allemagne |
Taylor Jensen Fine Arts, Palmerston North, Nouvelle-Zélande |
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