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Olafur Eliasson
Se promener dans le paysage islandais signifie s’y transporter. Dans cet isolement de mousses, de lichens et de roches volcaniques, difficile de dire si la prochaine localité se trouve à trente… En savoir plus
Introduction
Informations de fond sur Olafur Eliasson
Introduction
Se promener dans le paysage islandais signifie s’y transporter. Dans cet isolement de mousses, de lichens et de roches volcaniques, difficile de dire si la prochaine localité se trouve à trente minutes, trois heures ou trois jours de distance, a dit un jour Olafur Eliasson. Dans ses œuvres, point de vue et perspective occupent une place particulière et façonnent sa façon de travailler.
Les chutes d’eau sont un motif récurrent de l’œuvre de l’artiste. Tout a commencé en 1996 par un documentaire photographique en Islande, avec cette photo du Seljalandsfoss, et s’est poursuivi en 1998 avec les installations Waterfall et Reverse Waterfall. En 2008, il érige à New York quatre chutes d’eau artificielles massives au bord de l’East River, les célèbres New York City Waterfalls.
Ici, les deux photos du Seljalandsfoss se font écho, les sources des deux chutes d’eau y étant contiguës. Une composition abstraite, comparable à celle de Rorschach, voit alors le jour : une cascade qui monte et qui descend, sans qu’il ne soit possible de déterminer avec exactitude le sens originel du débit. Cette ambiguïté visuelle crée une tension surréaliste : et si le cliché apparemment inversé avait été accroché dans le bon sens, que le Seljalandsfoss s’écoulait vers le haut ?
Né en 1967, Olafur Eliasson est un artiste danois d’origine islandaise connu pour ses sculptures et ses installations grand format, dans lesquelles sont utilisés des matériaux élémentaires tels que la lumière, l’eau ou la température ambiante, afin d’intensifier l’expérience du spectateur.
« Les gens voient l’espace comme une superposition de couches. Mais l’on peut aussi créer un espace en supprimant tous les éléments environnants et observer ce qui reste. »
Les chutes d’eau sont un motif récurrent de l’œuvre de l’artiste. Tout a commencé en 1996 par un documentaire photographique en Islande, avec cette photo du Seljalandsfoss, et s’est poursuivi en 1998 avec les installations Waterfall et Reverse Waterfall. En 2008, il érige à New York quatre chutes d’eau artificielles massives au bord de l’East River, les célèbres New York City Waterfalls.
Ici, les deux photos du Seljalandsfoss se font écho, les sources des deux chutes d’eau y étant contiguës. Une composition abstraite, comparable à celle de Rorschach, voit alors le jour : une cascade qui monte et qui descend, sans qu’il ne soit possible de déterminer avec exactitude le sens originel du débit. Cette ambiguïté visuelle crée une tension surréaliste : et si le cliché apparemment inversé avait été accroché dans le bon sens, que le Seljalandsfoss s’écoulait vers le haut ?
Né en 1967, Olafur Eliasson est un artiste danois d’origine islandaise connu pour ses sculptures et ses installations grand format, dans lesquelles sont utilisés des matériaux élémentaires tels que la lumière, l’eau ou la température ambiante, afin d’intensifier l’expérience du spectateur.
« Les gens voient l’espace comme une superposition de couches. Mais l’on peut aussi créer un espace en supprimant tous les éléments environnants et observer ce qui reste. »
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