- Offres exclusives
- Nouveautés inspirantes
- Invitations personnelles aux événements artistiques
Pointez l'iPhone vers le mur souhaité (à environ 3 mètres) et appuyez sur Démarrer.
Pour une courte durée seulement
Commandez maintenant et recevez un emblème spécial, en édition limitée, avec votre œuvre d'art ! Pour célébrer nos 20 ans d'existence, chaque pièce achetée en septembre et octobre comportera un autocollant holographique exclusif au dos. Ne manquez pas cette occasion !
PRÊT À ACCROCHER
Toutes les œuvres d'art LUMAS peuvent être accrochées très facilement après le déballage.
EMBALLÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
Les emballages des usines LUMAS répondent toujours aux normes les plus strictes, afin de garantir que tout arrive chez toi en aussi bon état qu'il a été expédié.
SOUTIENT LES ARTISTES
Avec chacun de tes achats LUMAS, l'artiste reçoit une commission équitable.
14 JOURS DE DROIT DE RETOUR
Retour facile sous 14 jours pour s'assurer que vous êtes satisfait de chaque achat.
À propos de Andrej BarovLes paysages urbains cubistes d’Andrej BarovAvec la représentation de la réalité dans l’art, est toujours reliée la question de la possibilité de représenter en général. Dans l’art moderne, le caractère de représentation de…INFORMATIONS SUR LE BAGROUND
Les paysages urbains cubistes d’Andrej Barov
Avec la représentation de la réalité dans l’art, est toujours reliée la question de la possibilité de représenter en général. Dans l’art moderne, le caractère de représentation de l’art a été dissout au profit du médium : couleurs et formes sont devenues indépendantes et, détachées de leur support, mènent leur propre vie, expriment plutôt un monde intérieur ou des émotions.
Au moment où la peinture se détache de la pure représentation, la photographie fait son entrée avec la promesse de pouvoir fixer la réalité telle qu’elle est. Mais quelle est cette réalité ? Est-ce seulement ce que l’on voit ou également ce que l’on ressent en regardant, ou même le souvenir de ce que l’on a vu ?
Andrej Barov veut que l’on comprenne ses images de Tokyo comme une reconstruction du souvenir de ce qui a été vu. « Lorsque l’on séjourne au Japon, l’on est entouré de couleurs complètement différentes. Beaucoup de choses ont des couleurs fluorescentes et lumineuses, pour notre regard c’est un peu psychédélique. » Le Tokyo d’Andrej Barov est constitué d’impressions de lumière fragmentées, une ville toute en couleurs, formes et structures, un alphabet cubique aux impressions sensorielles condensées. Comme dans d’autres travaux, Barov transforme à l’aide de retouches digitales la photographie en quelque chose de plutôt pictural, utilise ce potentiel artistico-créateur pour rendre visible la réalité, tel un processus complexe de perception intérieure: « il s’agit pour moi de la capacité de notre cerveau à construire une sorte de mosaïque de souvenirs fragmentés, d’impressions et d’images vécues, lesquels nous servent de signaux émotionnels pour reproduire l’état dans lequel nous étions lors de la rencontre avec la réalité. »
Pixel et pinceau
Projet Andrej Barov “Mes films favoris” de 2003-2004
Le „Leinwand“ ou la toile, est la base des peintures à l’huile ou acryliques. Le „Leinwand“ est aussi la surface, l’écran sur lequel les films sont projetés. La toile et l’écran se distinguent clairement de part et d’autre d’une ligne prononcée de séparation. Cette barrière ne semble jamais avoir été brisée auparavant. Est-ce trop dérangeant d’imaginer la toile comme écran de projection ; est-ce inadmissible de considérer l’écran de projection comme une toile ?
L’idée de l’écran destiné à la projection cinématographique résulte sans doute d’une contingence historique. La naissance de la psycho analyse correspond plutôt fortuitement à l’expansion du cinéma. Pourtant, le cinéma n’est nullement le média de projection par excellence. Les images peintes sur les écrans sont en quelques sortes les même que celles qui émanent de la tradition psycho analytique. En revanche, l’écran de projection des salles de cinéma se montre tel le porteur des tendances actuelles et réactionnaires. L’écran n’est alors en aucun cas le symbole d’une époque révolue. La série « Mes films favoris » de Andrej Barovs Zyklus illustre ces deux aspects très distinctement.
Une histoire complète se concentre alors en une seule image et nous est contée selon la position d’une figure ou la constellation d’un tableau de caractères. Nous connaissons tous ces impressions qui brûlent au fond de l’âme et effacent complètement la mémoire. Ce sont des projections, les sédiments d’une anecdote. L’univers entier d’un film pourrait être projeté sur un écran. Andrej Barov se distingue en appliquant non pas de la peinture à huile ou acrylique sur la toile, mais des photographies numériques retravaillées grâce aux techniques modernes de la dite animation 3-D. Ainsi, le pictural ne réside pas ici dans l’application de la couleur mais plutôt mais dans l’aliénation de la composition et de la représentation. Les pixels remplacent le pinceau, l’écran par contre survit indemne, voire rénové, modernisé.BIOGRAPHIE
Novum Magazin 05/2005
Photo Technik International 03/2005
Foto Digital 03-04/2005
Lufthansa Magazin 01/2005
Designers Digest 09/2004
GO München 10/2005
SZ Magazin 03/2004
Photo Technik International 05/2004
Tout va bien 03/2003
SZ Magazin 05/2002VITA
1958 geboren in Leningrad, Russland 1976 - 1981 Studium an der Akademie für Theater, Musik und Spielfilm, Leningrad (Diplom) 1981 - 1988 Stellvertretender Produktionsleiter im Spielfilmstudio Lenfilm, Leningrad 1989 Einwanderung nach Deutschland; Regie für zwei Theaterstücke am Universitätstheater in Tübingen; Film für den Südwestfunk, Baden-Baden: "Asyl in der Kaserne" 1994 Dozent an der Neuen Akademie der Schönen Künste, St. Petersburg seit 1990 künstlerische Tätigkeit als Fotograf; lebt und arbeitet in München Expositions
Expositions individuelles
2005 "Colour Matrix", Andrej Barov, Brian Eno, Sonderausstellung des Museums für Abgüsse Klassischer Bildwerke, München 2004 "Perceptions" KODAK Photokina 2004 "Art Drinks In The City", Köln (Art Cologne) "Digital Album", Galerie Wild, Frankfurt/Main "My favourite films", Galerie Benninger, Köln "Wahrnehmungen", Galerie Andrea Brenner, Düsseldorf "Digitalisierte Welten", Galerie Digital Art, Frankfurt/Main 2001 "Raumdefinitionen", Galerie Benninger, Köln 2000 "Erbgut", Galerie Benninger, Köln 1999 Galerie "Goethe 53", Landeshauptstadt München, Kulturreferat, München; "Delikatessen", Galerie Benninger, Köln "CeBIT 1999", MAXON; "Reality TV" (Erste lange Nacht der Münchner Museen) 1995 Museum der Neuen Akademie der Schönen Künste, St. Petersburg 1993 Graphik-Photo-Art-Galerie, München 1991 Galerie Fischinger, Stuttgart; Galerie Grießhaber, Tübingen Expositions collectives
2005 "Wraps", anläßlich der Sonderausstellung "Bunte Götter-Die Farbigkeitantiker Skulptur" Skulpturhalle Basel "Raumdefinitionen", anläßlich der 7. Internationale Fototage 2005 "Parfum - Ästhetik und Verführung", Museum für Kunst und Gewerbe, Hamburg 2004 "Digiscapes", Ausstellung zum Zweiten Symposium der DGPh und FH Nürnberg "Digital Album", ART Forum Wiesbaden 2003 "images against war", Galerie Lichtblick, Köln / München, "Abstraktion", Kunstverein Schloss Plön "Wohnträume - Wohnräume", Museum für Gestaltung, Zürich "Kunstbrücken", Galerie RAAB, Berlin 2002 "Unsolid Icons", International Meeting of Photography, Plovdiv, Bulgarien 2001 "Initiale 7", Projektraum M54, Basel "unbezähmbar", Lebenshaus-Projekt, Köln 1999 "Hertener Phototage", Herten "Biennale della Fotografia Storica e Contemporanea", Venedig "Die lange Nacht der Museen", Galerie Goethe 53, München (Videoinstallation) "Biennale der Photographie", Moskau "Aufbruch - Zeitgenössische Kunst aus Rußland", AGFA / "photokina '98", BAYER Leverkusen (später St. Petersburg, Moskau) "Modernism and Postmodernism: New Russian Art of the Ending Millennium", Hartford College, Oneonta, New York (später Pittsburgh, Baltimore, Chicago) "Neue Tendenzen aus Sankt Petersburg", Galerie ArtKiosk, Brüssel "X", Galerie Seefeld "Oscar Wilde bittet zum Tee" / Sankt Petersburger Neoakademismus Galerie Lichtblick downtown / Tina Schelhorn, Köln 1997 "Kabinett - Sankt Petersburger Tendenzen", Stedelijk Museum, Amsterdam "Meerprojekte" Galerie FOE 156, München "Zeitgenössische Russische Kunst", Galerie Kai Hilgemann, Berlin "Moderne Kunst aus Sankt Petersburg", Galerie ArtKiosk, Brüssel "Biennale der Photographie", Vilnius, Lettland 1996 "Idylle und Katastrophe - Neoakademismus und Nekrorealismus aus Sankt Petersburg", Europäisches Kulturzentrum in Thüringen, Erfurt (später Dessau, Hamburg) "Metaphern des Entrücktseins - Aktuelle Kunst aus Sankt Petersburg", Badischer Kunstverein, Karlsruhe "Zurück zur Photographie"; Saal Manege, Moskau 1995 Galerie Seippel, Köln 1994 Galerie Susanne Albrecht, München "photokina '94", Köln: Objekt für Kodak AG ("Time Voyages") artcircolo: "Mělník-Hořin 1994" (Schloß Mělník, CR) Teilnahme an den "Medientagen München" 1993 Galerie Albrecht, München (m. Elsworth Kelly, Richard Mullican) European Photography Award '93 1992 "photokina", Köln: Präsentation für Kodak AG 1991 Münchner Stadtmuseum (m. Annie Leibovitz)