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Christopher Woodcock
Christopher Woodcock a intitulé « Publicly Private » la série de photos qu’il a réalisée à New York, Boston et San Francisco. Par ce titre, l’artiste américain désire attirer… En savoir plus
Introduction Curriculum vitæ Expositions
Bush Street & Battery Street, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 1 090
Bush Street & Battery Street, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 1 090
SoMa, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 649
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Publicly Private
à partir de € 649
Sutter Stockton, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 1 290
Sutter Stockton, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 1 290
Market Street & 2nd Street, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 599
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Publicly Private
à partir de € 599
8th Avenue and 38th Street, New York
Publicly Private
à partir de € 699
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Publicly Private
à partir de € 699
NoMad, New York
Publicly Private
€ 4 590
NoMad, New York
Publicly Private
€ 4 590
Sutter Street & Sansome Street, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 649
Sutter Street & Sansome Street, San Francisco
Publicly Private
à partir de € 649
Los Angeles City Center
Publicly Private
à partir de € 899
Los Angeles City Center
Publicly Private
à partir de € 899
Informations de fond sur Christopher Woodcock
Introduction
Christopher Woodcock a intitulé « Publicly Private » la série de photos qu’il a réalisée à New York, Boston et San Francisco. Par ce titre, l’artiste américain désire attirer l’attention sur les réalités qui se cachent derrière les façades d’immeubles des grandes villes et qui ne se dévoilent pas au premier coup d’œil. Woodcock cite à ce sujet l’auteur italien Italo Calvino : « Les villes comme les rêves sont construites de peurs et de désirs, même si le fil de leurs histoires reste caché, leurs règles absurdes, que leurs perspectives sont trompeuses et que chaque chose en cache une autre. »
Les photos de Woodcock sont composées de façon si impressionnante que l’on croirait presque qu'il s'agit de photomontages raffinés, ce que bien sûr elles ne sont pas. Point d'illusion d'optique ici. Le spectateur succombe bien plus à cette réalité complexe qui détermine la vie moderne. En utilisant un appareil-photo grand format, un objectif comprimant l’espace avec beaucoup de précision, cette troublante diversité urbaine est littéralement révélée aux yeux du spectateur.
Entre tours d’habitation et bureaux s’élançant vers le ciel, Woodcock choisit des angles de vue tels qu'avant- et arrière-plan tendent à se confondre, que l’horizon semble se dissoudre. Cette trouée dans la perspective conduisant à la perte générale de nos repères va de pair avec une remise en question visuelle de la sphère publique comme de celle privée. L’architecture devient métaphore visuelle de l’état d’âme humain et des structures sociales.
Pour renforcer l’effet de confusion de ces scènes urbaines qui se superposent, s’intercalent et s’emboitent, celles-ci sont plongées dans une lumière à l’aspect irréel. Les couleurs intenses sont obetnues par un temps long d’exposition nocturne. Ainsi les photos de Woodcock dévoilent-elles au spectateur un monde réel dans son artificialité et ouvrent une fenêtre sur le présent.
Stephan Reisner
Les photos de Woodcock sont composées de façon si impressionnante que l’on croirait presque qu'il s'agit de photomontages raffinés, ce que bien sûr elles ne sont pas. Point d'illusion d'optique ici. Le spectateur succombe bien plus à cette réalité complexe qui détermine la vie moderne. En utilisant un appareil-photo grand format, un objectif comprimant l’espace avec beaucoup de précision, cette troublante diversité urbaine est littéralement révélée aux yeux du spectateur.
Entre tours d’habitation et bureaux s’élançant vers le ciel, Woodcock choisit des angles de vue tels qu'avant- et arrière-plan tendent à se confondre, que l’horizon semble se dissoudre. Cette trouée dans la perspective conduisant à la perte générale de nos repères va de pair avec une remise en question visuelle de la sphère publique comme de celle privée. L’architecture devient métaphore visuelle de l’état d’âme humain et des structures sociales.
Pour renforcer l’effet de confusion de ces scènes urbaines qui se superposent, s’intercalent et s’emboitent, celles-ci sont plongées dans une lumière à l’aspect irréel. Les couleurs intenses sont obetnues par un temps long d’exposition nocturne. Ainsi les photos de Woodcock dévoilent-elles au spectateur un monde réel dans son artificialité et ouvrent une fenêtre sur le présent.
Stephan Reisner
Curriculum vitæ
1975 | Né à San Francisco, USA |
2002 | Bachelor of Fine Arts – photographie, San Francisco Art Institute, USA |
Master-programme des etudes d´art à la UC Davis, University of California, USA | |
Vie à San Francisco, USA |
Prix
2003 | ArtLink@Sotheby's International Young Art program |
Expositions
Expositions individuelles
2004 | Caterina Pazzi Contemporary Art, Rome, Italie |
Expositions collectives
2007 | Sonoma Valley Museum of Art 2007 Biennial, Sonoma, USA Douglas Udell Gallery of Canada |
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